
Trop de paperasse, pas assez de soins : et si c’était le moment de se faire aider ?
Entre deux tournées, un planning infirmier et les comptes à boucler, vous pensiez peut-être profiter de votre après-midi “off” pour souffler un peu. Mais non : la pile de feuilles, les indus CPAM et les mises à jour de la NGAP vous regardent avec insistance.
Vous n’êtes pas la seule. De nombreux et nombreuses IDEL gèrent encore leur facturation eux-mêmes. Par habitude. Par peur de mal faire. Ou simplement parce qu’ils ne savent pas encore qu’il existe des solutions sérieuses, sûres et… très libératrices ! Comme par exemple déléguer toute sa facturation à une facturière, avec Albus Temps Libre, par exemple.
Alors, quand faut-il envisager de déléguer sa facturation ? Comment ça fonctionne exactement ? Et surtout : qu’est-ce que ça change concrètement au quotidien ? Pour répondre à toutes vos questions, on a interviewé Pierre-Willy Dugas, infirmier libéral qui a monté son cabinet infirmier à Saint-Martin-le-Vieux en Nouvelle-Aquitaine, qui utilise Albus Temps Libre depuis le début de son aventure libérale. Découvrez son témoignage et suivez-nous, on vous explique tout après l’interview !
Pierre-Willy Dugas, infirmier libéral, vous raconte son quotidien avec ATL
Albus : Bonjour et merci de prendre le temps de répondre à nos questions ! On commence tout de suite par la première. Avant de vous lancer à votre compte, aviez-vous des interrogations ou des craintes particulières sur ce qui allait constituer votre quotidien en libéral ?
Pierre-Willy Dugas : Oui, bien sûr, et c’est normal ! En plus, on s’est lancé en libéral avec ma collègue en tant qu’IDEL titulaire tout de suite après notre expérience en salariat à l’hôpital, donc on n’est pas passé par une phase de remplacement. On n’avait pas de recul pour prendre des décisions importantes, comme choisir entre les différents logiciels IDEL, gérer la facturation au quotidien et les mises à jour fréquentes de la NGAP… Donc oui, beaucoup de craintes au départ quand même ! C’est pour ça que la solution de se faire accompagner par une facturière nous a très vite convaincus.
Albus : Pouvez-vous nous dire quelles étaient exactement vos peurs ?
PWD : L’expérience en libéral n’a pas grand chose à voir avec le salariat : on devient vraiment chef d’entreprise, donc l’inconnu est un peu stressant. On avait peur de faire des erreurs de facturation et de cotation, d’être rattrapé par des indus et des rejets de la CPAM… On se posait aussi la question de qu’est-ce qui se passerait si on choisissait le mauvais logiciel, un outil qui ne s’adapte pas à nos besoins, ou qui n’est pas facile à utiliser au quotidien… On veut gagner du temps, donc le côté intuitif d’un logiciel et d’une application compte beaucoup.
Albus : Parlez-nous un peu de votre parcours : quel a été le déclic qui vous a donné envie de passer de l’hôpital à une activité en libéral ?
PWD : L’hôpital, c’est très formateur, on ne peut pas le nier. Mais on n’est pas maître de ses décisions ou de son évolution professionnelle. J’avais le sentiment après 10 ans d’être arrivé au bout de ce que je pouvais donner dans ce contexte, sans être maître de la prise en charge ou du soin des patients et des projets de service. Donc j’ai voulu tenter l’expérience du soin à domicile et du contact plus direct avec le patient, mais aussi de la gestion autonome de la profession : on a un retour direct sur l’investissement qu’on donne quand on bosse en libéral.
Albus : Ah, alors on n’est pas obligé de passer par la phase remplacement ?
PWD : Effectivement, comme l’installation fait peur, généralement les infirmiers passent en tant que remplaçant dans plusieurs cabinets pour voir comment ça se passe avant de s’établir, mais ce n’est pas du tout obligatoire.
Albus : À quoi ressemble votre quotidien aujourd’hui avec ATL ? Décrivez-nous une journée type avec l’appli et votre facturière.
PWD : on a donc une tournée de patients. Moi j’aime bien réfléchir en termes de “passages” plutôt que de patients, car nous avons des patients que l’on voit seulement une fois dans la journée, mais d’autres qu’on visite deux ou trois fois par jour.
Donc on compte entre 40 et 45 passages réguliers par jour.
- Je commence vers 6h : je démarre le matin en commençant par les patients habituels, puis viennent se greffer des prises en charge ponctuelles, des prises de sang, et d’autres soins plus ponctuels qui ne sont pas forcément déjà enregistrés dans mes favoris dans l’application.
- Puis entre 8h et 8h30, j’aime bien ouvrir une première fois l’application pour vérifier que j’ai pris en charge les patients habituels dans le bon ordre et que je n’ai rien oublié de particulier. Puis viennent les soins ponctuels : chez le patient, on photographie l’ordonnance, la carte de mutuelle le cas échéant et on passe la Carte vitale dans le lecteur. C’est en retournant dans ma voiture que je rentre à nouveau dans l’application. Je rentre l’ordonnance avec une petite note pour ma facturière, les données de mutuelle, et j’en profite pour valider les soins qui ont déjà été réalisés durant la matinée.
- Entre 12h et 14h, je repasse au cabinet pour télécharger les données que j’ai pu enregistrer le matin et répondre aux éventuels commentaires de ma facturière.
- Enfin, en fin de journée, je reprends systématiquement l’application pour vérifier que tous les soins réalisés sont bien cochés, et souvent, la facturière a déjà eu le temps de rentrer les soins du matin, donc je peux les vérifier et les valider.
Albus : En quoi le fait de ne pas gérer seul la facturation change le rapport que vous avez à votre métier ?
PWD : Ça sécurise ! On n’a pas l’impression de devoir faire les choses seul dans notre coin, et on s’assure de faire les choses de façon conforme et réglementaire. Ça impose aussi une certaine rigueur : par exemple, je sais que ma facturière rentre moins d’infos pendant le weekend, et je ne veux pas lui imposer de travailler le weekend à cause d’un retard éventuel de ma part, donc je m’astreins à rentrer les infos en temps réel. Cette rigueur, on l’apprécie nous, car on a le sentiment de faire un travail de qualité, mais c’est aussi agréable pour nos remplaçants qui se rendent compte qu’on est bien payé par la CPAM de façon régulière, et qu’on les rémunère avec la même régularité.
Albus : Cela vous permet aussi de vous consacrer plus aux soins et à l’aspect médical de votre métier plutôt qu’à l’administratif ?
PWD : oui, tout le travail qu’effectue la facturière nous décharge vraiment de tout ce qui est administratif pesant. Cela nous permet d’avoir plus d’énergie pour la prise en charge. Notre boulot c’est avant tout d’essayer de comprendre pourquoi les patients ne vont pas bien et comment les aider, pas de comprendre pourquoi j’ai un rejet de la CPAM. J’ai la chance de m’entendre très bien avec beaucoup de mes collègues, également IDEL, qui me font part au quotidien de leur difficulté dans la gestion des cotations, de leur facturation, des rejets et indus… Des problèmes que je ne veux surtout pas connaître et que j’évite grâce à ATL.
Albus : Si vous deviez décrire votre relation avec votre facturière, que diriez-vous ?
PWD : Elle est avant tout humaine. Elle est drôle, de bonne humeur, ou en tout cas c’est l’impression qu’elle donne. C’est toujours plaisant de l’avoir au téléphone et on voit bien qu’elle est là pour nous rendre service. Même si on ne s’est jamais rencontrés physiquement, on travaille ensemble au quotidien, et elle fait vraiment partie du cabinet. Lorsqu’elle part en congés, c’est aussi agréable d’avoir l’œil neuf de la personne qui la remplace sur notre situation et notre organisation.
Albus : À celles et ceux qui hésitent encore à se lancer en libéral, quels conseils leur donneriez-vous ?
PWD : Je trouve que notre métier est marqué par une réticence au changement, mais qu’il faut savoir se poser les bonnes questions et remettre en question ses propres fonctionnements. Donc j’encourage tous ces professionnels à se demander ce qu’ils veulent mettre en avant : être d’abord gestionnaire, ou être d’abord soignant. L’avantage d’ATL, c’est qu’on peut faire les deux : je ne perds pas de vue ma responsabilité en tant que gestionnaire de mon activité, mais je me fais accompagner pour avoir plus de temps et d’espace mental pour m’occuper de mes patients et monter en compétence dans mon métier.
Un autre conseil que je peux donner, c’est de ne pas hiérarchiser les soins en fonction de ce qu’ils rapportent. Le logiciel Albus m’a d’abord été conseillé pour son côté intuitif, et c’est pour ça que je l’utilise. Je n’ai pas besoin de voir des objectifs de chiffre d’affaires ou des rapports financiers lorsque j’ouvre mon appli, ce n’est pas ma façon de travailler, et j’apprécie qu’Albus soit aligné avec mes valeurs.
Une fois qu’on a dit tout ça… Pourquoi la facturation est-elle un vrai sujet pour les IDEL ?
Un casse-tête chronophage (et stressant)
Facturer en libéral, ce n’est pas juste cocher deux cases sur un logiciel. Il faut jongler avec la NGAP, les cotations complexes, les erreurs de mutuelle, les retours sécu, les indus, les relances CPAM… Une journée sans bug, c’est presque une journée de congé !
Sauf qu’en réalité, ce travail administratif prend vite plusieurs heures par semaine. Et quand on le repousse au week-end ou aux jours “off”, ce n’est pas du repos qu’on s’offre… mais un deuxième boulot, et une vie personnelle en chute libre.
Le faux temps libre des jours sans soins
Vous l’avez sans doute déjà vécu : un mercredi sans patientèle ne veut pas dire Netflix et sieste. C’est souvent le moment qu’on réserve pour facturer, vérifier les paiements, faire les relances, corriger les erreurs. Bref, une vraie charge mentale qui grignote sur la vie perso.
Et si ce “temps libre” pouvait être réellement libre ?
Déléguer sa facturation : qu’est-ce que ça veut dire concrètement ?
Entre logiciel, aide ponctuelle et service sur mesure
Il existe plusieurs façons de se faire aider :
- le logiciel seul (très utile mais encore faut-il avoir le temps de s’en servir) ;
- l’aide ponctuelle (souvent en cas d’urgence ou de vacances) ;
- le service humain personnalisé, comme Albus Temps Libre, qui associe un logiciel puissant à un accompagnement régulier par une facturière spécialisée.
Avec un service comme ATL, on ne se contente pas d’appuyer sur des boutons. On bénéficie d’un vrai binôme complice, qui comprend la réalité du terrain IDEL.
Le rôle d’une facturière IDEL : un duo gagnant
Une facturière spécialisée en IDEL prend en charge la saisie, la vérification des cotations, la transmission, le suivi des rejets, les réclamations… et même les relances CPAM. Elle suit aussi les évolutions réglementaires pour que vous restiez toujours en règle, et elle s’assure que vous cotez au plus juste.
C’est un peu comme une collaboratrice de l’ombre qui vous fait gagner du temps… et de l’argent.
Quels sont les signes qu’il est temps de déléguer ?
Vous êtes toujours à la bourre ? Ce n’est pas normal
Facturer avec une semaine de retard, ça peut arriver. Mais quand c’est tous les mois, que les rejets s’enchaînent et que vous vous retrouvez à jongler avec les avances de tréso, il est temps de se poser les bonnes questions.
Et si vous n’avez plus fait une pause sans culpabilité depuis trois mois, c’est que votre organisation ne vous respecte plus.
Fatigue, stress, charge mentale : attention danger
Les soins, c’est déjà intense. Si en plus vous ajoutez le stress de la facturation, les menaces d’indus et la sensation de ne jamais déconnecter, vous mettez votre équilibre en danger et vous risquez le burn out.
Déléguer, ce n’est pas être moins professionnelle. Au contraire, c’est prendre ses responsabilités et c’est se donner les moyens d’exercer sereinement.
Quels bénéfices à déléguer sa facturation ?
Du temps (vraiment) pour vous
Une facturation externalisée, c’est plusieurs heures gagnées chaque semaine. Temps que vous pouvez dédier à votre vie perso, à vos proches, à du repos… ou à des formations, si vous aimez rester dans l’action.
Moins d’erreurs, plus de soins facturés
Une facturière expérimentée connaît la NGAP sur le bout des doigts. Elle vous aide à coter au plus juste, à ne rien oublier, et réduit drastiquement les erreurs et rejets. Résultat ? Des revenus mieux optimisés, et moins de tracas administratifs.
Vous n’êtes plus seule
Avec un service comme Albus Temps Libre, vous êtes accompagnée par une personne référente, formée, disponible, qui connaît votre activité et anticipe les évolutions réglementaires. Ce n’est pas juste de la facturation, c’est un véritable filet de sécurité professionnel. Nos utilisateurs sont tous satisfaits, ça se passe de commentaire !
Que vérifier avant de choisir un service de facturation ?
Zéro double saisie, sinon rien
Un bon service de facturation doit s’intégrer parfaitement à votre logiciel infirmier. Si vous devez ressaisir chaque acte, bonjour la perte de temps. Avec Albus Temps Libre, la synchronisation est native : vous continuez à utiliser Albus comme d’habitude, tout en déléguant la partie lourde.
Un service humain, compétent et conforme
Méfiez-vous des plateformes trop anonymes. La relation avec votre facturière est essentielle. Il faut qu’elle connaisse les spécificités de votre exercice, qu’elle soit formée régulièrement, et que la solution garantisse la sécurité des données (RGPD, sécurisation HDS, etc.). Avec Albus Temps Libre, vous êtes entre de bonnes mains.
Un service de facturation doit vous soulager, pas vous compliquer la vie
Déléguer sa facturation, ce n’est pas perdre le contrôle, c’est reprendre la main sur son temps et son équilibre. La bonne solution, c’est celle qui comprend vos contraintes, s’adapte à votre réalité de terrain, et vous épaule au quotidien sans vous rajouter une couche de complexité.
Avec Albus Temps Libre, vous ne déléguez pas à une machine, mais à une équipe humaine, compétente et bienveillante, qui vous aide à travailler mieux… et à vivre mieux.
Alors, prête à sauter le pas ?
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Ce qu’Albus fait pour les IDEL
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