Epuisement professionnel, stress, angoisse, burn-out, … autant de termes que l’on retrouve de plus en plus souvent s’agissant du moral des infirmières et des infirmiers libéraux. Le phénomène n’est pas nouveau mais il prend de l’ampleur. Pourtant, chaque année, la sonnette d’alarme est sonnée sans que de véritables solutions ne soient apportées.
Le burn-out des infirmières libérales, un sujet toujours d’actualité
Le stress voire même le burn-out des infirmières et infirmiers libéraux revient régulièrement sur le devant de la scène. Le 20 octobre 2016, l’Assemblée Nationale avait même organisé une table ronde consacrée à ce syndrome d’épuisement professionnel. Les infirmières libérales avaient été confiées à cette réunion, qui à l’origine devait répondre, en partie, au malaise du personnel hospitalier. Que s’est-il passé un an après ? On pourrait être tenté de dire, que les infirmières libérales n’ont pas vu ce stress reculer de manière importante, bien au contraire. Presque un an après cette table ronde, le 11 et 12 octobre dernier, le Syndicat National des Infirmiers libéraux (Sniil) confirmait cette impression d’immobilisme en consacrant son 44ème Congrès au …burn-out des IDEL(s).
Alors ce stress, ces angoisses, ces phobies, liées à la profession même d’infirmière libérale, sont-ils voués à revenir année après année sur la table ? Les autorités publiques sont-elles vouées à rester impuissantes face à ce mal-être de toute une profession ? On peut légitimement se poser la question, à laquelle Fairouz Fala apportait une réponse il y a un an, qui semble encore être d’actualité aujourd’hui :
« Faisons attention aux uns et aux autres, prenons soin de nos pairs, de nos collègues au quotidien, car faire le pont vers les autres, écouter les autres, être dans l’indulgence, être patient envers les autres c’est s’ouvrir à eux et aller vers une meilleure entente, une bonne cohésion, une bonne dynamique et donc une bonne prise en soin de nos patients. Après tout, nous ne sommes que des êtres humains. »
Infirmière libérale, une vocation mais aussi une profession exigeante
Pourtant, le constat est connu de tous, car à l’Assemblée Nationale en 2016 comme au congrès du Sniil il y a quelques semaines, la pénibilité de la profession est toujours mise en avant. Et les éléments, à l’origine du stress qui peut conduire au burn-out, sont eux-aussi bien identifiés :
- Le manque de temps et une amplitude horaire exagérée avec des journées à rallonge,
- L’insuffisance de temps de repos, conséquence de ces emplois du temps trop surchargés,
- La violence (physique ou verbale) ressentie avec l’instauration d’un sentiment d’insécurité,
- Les difficultés liées aux exigences de la profession pour concilier missions de santé et vie familiale
- …
Il ne s’agit donc pas d’un problème de compréhension des causes ou des facteurs déclenchants mais bien d’un véritable problème de moyen. Tant que les infirmières libérales seront soumises à cette pression de « temps passé au chevet de leurs patients », alors elles continueront à ressentir ces insuffisances et autres difficultés. Il s’agit donc bien d’un problème de moyens financiers et matériels, puisque seule l’augmentation de ces derniers assurera un apaisement de la situation.
Des conditions de travail dégradées, un constat jamais remis en cause ?
C’est donc bien toute la politique de soins de ville, qu’il faudrait revoir en lui allouant des moyens supplémentaires. Nous savons tous, que cette voie n’est pas celle qui sera suivie dans les années à venir. Les orientations budgétaires sont claires, et on se dirige plus vers une restriction (certains préfèrent parler d’optimisation) que vers une augmentation. Pourtant, le constat est dressé. On comprend mieux alors la répétition de ces réunions sur le sujet, même si on prend également conscience, dans le même temps, de leur inutilité. A quoi bon multiplier les débats et les réflexions sur le sujet si au bout du compte on s’accorde sur l’impossibilité d’agir de manière concrète. En octobre 2016, Sylvie Lime, infirmière libérale écrivait : « Moi j’ai rarement eu autant mal au dos que depuis que je suis en libéral. Mais concernant le Burn-out, je suis peut être chanceuse mais pour l’instant je crois n’avoir jamais souffert d’épuisement psychologique. ». Zelie Louis lui répondait : « Les 2 vont ensemble tout craque à un moment donné …Le corps dit stop. »
C’est peut-être à ce niveau-là, que des solutions peuvent être trouvées et mises en place. Peut-être que si les autorités publiques prenaient pleinement conscience de la pénibilité de la profession et du rôle réellement joué par les infirmières libérales au quotidien, ces dernières ressentiraient moins ce sentiment d’injustice ? Est-il réellement nécessaire d’expliquer que ce sentiment aggrave le stress et accroit le risque d’épuisement professionnel ? Une meilleure reconnaissance pour lutter contre le burn-out des IDEL(s), l’idée n’est pas révolutionnaire mais elle a le mérite de ne pas mettre en danger les orientations budgétaires de la politique de la santé en France. Faudra-t-il attendre 2018 et une nouvelle table ronde pour en prendre conscience ?
Et vous, pensez-vous que ce stress des infirmières libérales est insoluble tant que l’on n’alloue pas un budget conséquent pour s’attaquer aux véritables causes ? Estimez-vous qu’il faut rechercher ailleurs cette source de stress ?
20 décembre 2017
Je suis de tout coeur avec vous
20 décembre 2017
Laeti Tia c'est elle le remède...
20 décembre 2017
??? rasou a encore les bonnes solutions !!!
20 décembre 2017
Fabien Prioleau Stella Bas
20 décembre 2017
Oui trop meme
20 décembre 2017
Parce-que tout le mode sans fout!!!
19 décembre 2017
Tout un système mafieux (cpam,urssaf,carpimko,oni,ars,...)qui gravite autour des idels ...aucune chance de lutter contre cela...reconversion ou revolution ,quand à la deuxième option,je n'ai aucun espoir...la soumission est de rigueur dans ce métier...et cela nos bourreaux l'ont bien compris!
18 décembre 2017
Effectivement certaines personnes n ont vraiment oas conscience de la difficulte du metier.
18 décembre 2017
Moi j’ai arrêté de stresser car nous pourrions bosser à 3 mais nous avons fait le choix d’être 4 et de ne pas plus gagner qu’à l’hôpital. Nous avons bien diminuer notre chiffre d’affaire mais nous ne courrons plus et avons le temps de ne pas passé comme des météorites chez les patients et d’avoir une vie de famille. C’est notre choix et ça nous va bien . Le piège est de vouloir bosser plus pour payer les charges qui augmentent avec le chiffre et c’est une spirale folle...
18 décembre 2017
Eglantine Rhumpompompom
18 décembre 2017
La gestion du temps avec les gens qui ne comprennent pas les aléas....
18 décembre 2017
Mohamed Lihedeb
18 décembre 2017
Hum ! ....... et votre vie perso ?!
18 décembre 2017
Parce que peu de gens dans notre entourage comprend notre rythme de travail/ vie perso.... Difficile de faire entendre à un salarié que les soins représentent seulement la moitié de ce que l'o' fait mais que nous ne sommes rémunerés que sur eux...difficile de faire comprendre que oui on peut casrr 70h de boulot dans une semaine, que les congés payé ppur nous n'existent pas et que si on ne trouve pas de remplaćant et bien on annule les vacances/jours de repos... Que si on a un bras dans le platre soit on travaille soit on a pas de salaire bref...les journées sont deja bien remplies, les responsabilités et la gestion du cabunet assez importantes et le soutien de l'entourage pas toujours au rdv, notammenent en période de congés
17 décembre 2017
Stephanie Basilico
17 décembre 2017
Mdr a peine stressée ???
17 décembre 2017
Virginie Favin bientot la fin pour moi c’est sur Mesut Ckl toi aussi je le sens
17 décembre 2017
Que Levothyrox ibn Mediator soit en paix, Mon Fils
17 décembre 2017
Vous voulez connaître une des causes de l'épuisement des soignants : cette vieille idée selon laquelle nous faisons notre métier par vocation et vous continuez à la véhiculer Une vocation c'est le fait de dire que notre métier et en fait une sorte de mission et que nous somme prêt à tout et à tout accepter pour l'accomplir Mais c'est finit ça Arrêtez avec la vocation vous êtes complices de la culpabilisation des soignants qui sont épuisés et qui veulent faire seulement leur TRAVAIL Arrêtez albus de faire semblant de vous préoccuper des soignants pour vendre vos trucs Faites votre business mais n'essayez pas de nous sensibiliser à quoi que ce soit on connaît mieux que quiconque les réalités du terrain
16 décembre 2017
Isabelle Rouzé,Elise Loïck Sueur
16 décembre 2017
Un metier qui fut très Beau... helas l'argent pourrit tout
16 décembre 2017
Parce qu il faudrait arrêter de prendre les petites mains du monde paramédical pour les bouffons des technocrates qui décident sur nos professions...
16 décembre 2017
Dans toutes les branches on doit et on se doit de soutenir
16 décembre 2017
Mary Ka
16 décembre 2017
Je sais pas si c est un stress ambiant généralisé. Malheureusement. Sortir du système. Faut bien avouer que l'administration a sa part de charges négatives.
15 décembre 2017
Mon stress ce sont toutes ces charges qui nous assomment ...
15 décembre 2017
Oui trop de stress...
15 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
19 décembre 2017
Arielle : CA = Chiffre d’affaire
18 décembre 2017
J adhère totalement ! J ai même trouvé une certaine harmonie même en bossant 7j/7 depuis.... ..... plus de 60 mois d affilee ! ?
18 décembre 2017
Laura Klein ah oui vraiment ! elle a l’air tellement sereine quand on la lit et en effet d’être dans cette optique doit te donner un sentiment de légèreté qui n’a pas de prix ???
18 décembre 2017
Idem pour moi
18 décembre 2017
Norémane Henry-Bouzidi notre politique 2018 ???
17 décembre 2017
Laura Klein
17 décembre 2017
Arielle Ellul chiffre d’affaire
17 décembre 2017
Un CA??
15 décembre 2017
Trop de stress....
15 décembre 2017
Parce tout le monde s en fout.
15 décembre 2017
J'ai arrêté le libéral après 15 ans. En burnout, je ne pouvais plus travailler. J'ai passé le concours et suis maintenant infirmière scolaire. C'est d'autres stress car on gère seule des situations difficiles mais je retrouve l'épanouissement de mes débuts de carrière.
15 décembre 2017
Atimade Maamri Andrieux
15 décembre 2017
Oui il y a du stress mais nettement moins que dans le centre de soins dans lequel je bossais avant, ou chacun n en faisait qu a sa tête au dépend des personnes
14 décembre 2017
le stress le stress
14 décembre 2017
Mon stress est de ne pas réussir à payer mes charges monstrueuses et d'avoir une retraite insuffisante
14 décembre 2017
la pression des caisses aussi est difficile à gérer une NGAP obsolete des soins non remboursés je suis remplaçante depuis des années donc pas trop de paperasserie j'ai 58 ans, je me respecte et ne travaille que 13 jours/mois et bien malgré ça je me demande tous les jours comment je vais aller à 67 ans ( et ça c'est cause de stress)...... car je ressens une fatigue de + en + grande
14 décembre 2017
je vais réduire mais je vis seule donc........
14 décembre 2017
Et oui 67 ans parce que ce n’est pas un travail difficile !!!! Je me contente de 10jrs j’amorce l’atterrissage en douceur
14 décembre 2017
Courir, toujours courir, sans cesse. Ne pas pouvoir se poser 2 min pour discuter ou prendre un café quand on nous le propose. Alors certains vont dire qu’on a qu’à prendre moins de patients, oui mais on ne peut pas diriger les patients qui sont habitués à nous, qui nous ont toujours pris vers d’autres idel, si ?
18 décembre 2017
Ben oui pourquoi pas , peut être retrouverez vous un équilibre ds le travail qui vont conviendrai mieux plus prendre de nouvelles prise en charge chronique pour le moment ..... Et des charges qui diminueront aussi ?
16 décembre 2017
surement la peur de perdre trop de patients...
16 décembre 2017
Et pourquoi pas ?
14 décembre 2017
Laeti Tia tu serais pas à part ?
14 décembre 2017
Ça doit être ça ...
14 décembre 2017
j'intériorise ...
14 décembre 2017
Mes collegues Virginie Gerzaguet et Fouque Sèverine
14 décembre 2017
La solitude pour ma part, heureusement qu’on discute avec les collègues lorsque nous sommes sur la route
14 décembre 2017
Oui Diane Lacas
14 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
15 décembre 2017
J'ai quitter le libéral après 25 ans de bons et loyaux services et j'ai adoré mais épuisée, au bout du bout plus des ennuis financiers suite à un divorce.... Bref... J'ai trouvé un poste de salariée chez un prestataire. Plus de soins mais toujours un contact avec les patients, du relationnel, mon métier autrement. Et je revis !! Le hic c'est le salaire, mais peu importe, je vais finir ma carrière plus zen, il me reste encore une bonne dizaine d'années à faire...
15 décembre 2017
Ok avec vous moi j arrive aussi au bout du rouleau de cette profession mais que faites vous maintenant si vous avez quitte le libéral? Dites moi car moi aussi j aimerai cesser cette activité et faire autre chose mais quoi?
14 décembre 2017
Comme je vous comprends...
14 décembre 2017
Je comprends, je compatis... je souhaite un jour ne plus soigner non plus mais au font je sent que j’ai ce métier chevillé au corps... mais l’épuisement et l’ennuie me guettent ! Il ne faut rien regretter et aller de l’avant ce n’est pas un échec mais une évolution. Je vous souhaite de vous retrouver et d’aller bien! On a parfois plusieurs amours alors pourquoi pas plusieurs métiers? ?
14 décembre 2017
Oui, nous avons un métier très difficile mais la pression de la hiérarchie en moins
14 décembre 2017
Navrée de lire ce genre de message mais je vous comprends
14 décembre 2017
On a une charge de travail importante, un rôle précieux auprès des patients, de leurs proches et des médecins, malgré cela je ne ressens aucun stress... je me sens libre, aucune pression hiérarchique, j’organise mes soins et mon travail administratif comme je l’entends... je n’ai qu’une règle, une règle d’Or : ne jamais promettre une heure de passage précise chez les patients... on fait de notre mieux et ils le savent
14 décembre 2017
Christelle Desvignes Marret
14 décembre 2017
La triangulation des soins avec les familles et les médecins, devoir faire le lien ac tous les intervenants, servir de punching-ball... Les horaires de debiles
14 décembre 2017
Trop de stress. Vivre avec la montre. ...ça use .
14 décembre 2017
Écoute moi Nath Rss jusqu à présent j'ai été très polie. Tu t'es pris pour qui à venir pister mes coms. T'as que ça a foutre? J'ai 30 ans de libéral dans les jambes et oui le stress y en a c'est le job qui veut ça. Et vivre avec la montre aussi être à l'heure pour déposer les bilans sanguins et j'en passe ...ou tu à vu que je fais 70 patients ? Alors tu sais quoi va voir ailleurs si j'y suis sociopathe que tu es ???? et je suis polie !
14 décembre 2017
Dit celle qui prend entre 60 et 70 patients par jour ... mdrrr??
14 décembre 2017
Morin Medhi
14 décembre 2017
14 décembre 2017
Oui c est vrai ! Tu es beaucoup plus détendu qu' en service !
14 décembre 2017
Pas de stress pour moi juste pas assez de temps
14 décembre 2017
14 décembre 2017
Parce que nous devons palier, en plus de notre travail, le manque d'implication des familles, des médecins (certes, ils prescrivent mais à tort et à travers, tant pis si les IDELS ne peuvent pas coter...) quand on n'a pas des ordonnances bidons.. Il faut aussi courir pour les labos, pour la plupart à jeun
15 décembre 2017
Tout a fait d'accord...
14 décembre 2017
Tout à fait Sab Al!? Je pense que parfois, je monte à 22 de TA!?
14 décembre 2017
C'est bien vrai ? c'est beaucoup de pression "psychologique"
20 décembre 2017
Laeti Tia c'est elle le remède...
19 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
18 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
18 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
18 décembre 2017
Courir, toujours courir, sans cesse. Ne pas pouvoir se poser 2 min pour discuter ou prendre un café quand on nous le propose. Alors certains vont dire qu’on a qu’à prendre moins de patients, oui mais on ne peut pas diriger les patients qui sont habitués à nous, qui nous ont toujours pris vers d’autres idel, si ?
18 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
18 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
17 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
17 décembre 2017
Stephanie Basilico
17 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
17 décembre 2017
Plus de stress ou très peu . J’ai finis après 14 ans de libéral par remettre les choses en place avec les patients et moi même . Ils sont pas content ils changent d’infirmières . Les horaires créneaux donner de 1h voir 2h et si ils sont pas content c’est pareil ils changent . Pour les charges je fais en sorte de pas dépasser un CA à la Limite de la douleur chaque année pour éviter les surprises désagréables en fin d’année . Et je prends que des patients gentils et respectueux : Les méchants arrogants pas respectueux etc non merci..... le stress je pense on peut se le diminuer chacun si on se penche dessus . Et surtout je pense il faut couper les semaines et bosser qq jours d’affilés mais Max 5 jours comme ça on peut se reposer et couper un peu . On va tous finir malades en burn out ou dépressif donc j’ai changé tout ça pour justement essayer de tenir qq années encore dans ce métier . On ne peut pas tout changer et passer notre temps à nous battre contre Cpam médecins patients etc donc je laisse couler ce que je ne peux changer et je me dis à l’hôpital c’est pire, au moins nous sommes libres nous les libéraux
16 décembre 2017
Courir, toujours courir, sans cesse. Ne pas pouvoir se poser 2 min pour discuter ou prendre un café quand on nous le propose. Alors certains vont dire qu’on a qu’à prendre moins de patients, oui mais on ne peut pas diriger les patients qui sont habitués à nous, qui nous ont toujours pris vers d’autres idel, si ?
16 décembre 2017
Courir, toujours courir, sans cesse. Ne pas pouvoir se poser 2 min pour discuter ou prendre un café quand on nous le propose. Alors certains vont dire qu’on a qu’à prendre moins de patients, oui mais on ne peut pas diriger les patients qui sont habitués à nous, qui nous ont toujours pris vers d’autres idel, si ?
15 décembre 2017
Parce que nous devons palier, en plus de notre travail, le manque d'implication des familles, des médecins (certes, ils prescrivent mais à tort et à travers, tant pis si les IDELS ne peuvent pas coter...) quand on n'a pas des ordonnances bidons.. Il faut aussi courir pour les labos, pour la plupart à jeun
15 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
15 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
14 décembre 2017
la pression des caisses aussi est difficile à gérer une NGAP obsolete des soins non remboursés je suis remplaçante depuis des années donc pas trop de paperasserie j'ai 58 ans, je me respecte et ne travaille que 13 jours/mois et bien malgré ça je me demande tous les jours comment je vais aller à 67 ans ( et ça c'est cause de stress)...... car je ressens une fatigue de + en + grande
14 décembre 2017
la pression des caisses aussi est difficile à gérer une NGAP obsolete des soins non remboursés je suis remplaçante depuis des années donc pas trop de paperasserie j'ai 58 ans, je me respecte et ne travaille que 13 jours/mois et bien malgré ça je me demande tous les jours comment je vais aller à 67 ans ( et ça c'est cause de stress)...... car je ressens une fatigue de + en + grande
14 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
14 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
14 décembre 2017
Laeti Tia tu serais pas à part ?
14 décembre 2017
Laeti Tia tu serais pas à part ?
14 décembre 2017
Trop de stress. Vivre avec la montre. ...ça use .
14 décembre 2017
Trop de stress. Vivre avec la montre. ...ça use .
14 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
14 décembre 2017
Voilà pourquoi je rends mon tablier. Je n'ai plus rien à donner. On m'a tout pris, je ne suis plus soignante. Je me sens libre mais très culpabilisee de ne plus y arriver . Un break certainement définitif s'impose, ce que l'on donne n'est jamais assez, je suis épuisée ! Bonne chance à tous ceux qui continuent, et surtout, bravo!
14 décembre 2017
Morin Medhi
14 décembre 2017
Morin Medhi
14 décembre 2017
Morin Medhi
14 décembre 2017
Morin Medhi
14 décembre 2017
Parce que nous devons palier, en plus de notre travail, le manque d'implication des familles, des médecins (certes, ils prescrivent mais à tort et à travers, tant pis si les IDELS ne peuvent pas coter...) quand on n'a pas des ordonnances bidons.. Il faut aussi courir pour les labos, pour la plupart à jeun
14 décembre 2017
Parce que nous devons palier, en plus de notre travail, le manque d'implication des familles, des médecins (certes, ils prescrivent mais à tort et à travers, tant pis si les IDELS ne peuvent pas coter...) quand on n'a pas des ordonnances bidons.. Il faut aussi courir pour les labos, pour la plupart à jeun